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La mauvaise qualité de l’air est responsable de 7 millions de décès prématurés dans le monde (coûts induits de 101 milliards d’euros annuels en France, soit 2 fois plus que le tabac), très majoritairement en liaison avec l’exposition aux « particules fines ». La réglementation sur la qualité de l’air est basée sur la masse des particules, qui est une métrique incomplète pour prédire les effets sanitaires. Le « potentiel oxydant » (ie la capacité des composants atmosphériques à oxyder le milieu pulmonaire) est vu comme métrique prometteuse.

Le développement proposé apporte des innovations méthodologiques et technologiques en se basant sur un savoir faire unique de l’équipe, leader sur les mesures de potentiel oxydant en France. Il s’agit de développer un appareil pour la mesure de potentiel oxydant automatisée.

• Sensibilité accrue qui permet la mesure dans la majorité des milieux atmosphériques extérieurs (10 µg/m3 de particules).

• Paramètre-clé basé sur le dénominateur commun des affections cardio-respiratoires pour alerter sur l’impact sanitaire de la pollution.

Une preuve de concept est en cours de réalisation.

• Suivi de la qualité de l’air par les instances réglementaires

• Contrôle de procédé industriel

• Mesure de la toxicité des polluants émis par des procédés industriels ou un produit fini (voiture, système de chauffage, cigarettes).